3° rencontre avec Maître Justin : les retrouvailles (le 08/06/2017)

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il y a 7 ans

"Tu mérites une prise en main ferme". Je sais donc que je vais être traîté un peu plus durement lors de cette nouvelle séance que lors des précédentes. Il faut dire que j'étais déjà soumis à Maître Justin à l'été dernier et j'ai tout arrêté un peu brusquement à la veille d'une troisième rencontre qui promettait d'être très intéressante et que mon Maître attendait avec beaucoup d'impatience. Je l'ai donc laissé sur sa faim et il m'en tient justement rigueur. Je sais donc que je vais prendre pas mal alors même que je suis encore débutant.

Pour commencer, j'ai ordre d'attendre mon Maître nu dans les couloirs d'un SEXE SHOP possédant également un sous-sol avec cabines individuelles. C'est le lieu où nous nous rencontrons habituellement. Je dois porter au cou une pancarte avec la mention "JEROME, VRAIE SALOPE SOUMISE, HEUREUSE D'ETRE DANS L'ATTENTE DE REVOIR MAITRE JUSTIN". Je dois être prêt à 14h15 pour une session qui doit durer 3h30. Jusque là, je n'ai été dominé que 2 fois, toutes les deux par mon Maître. La première n'a duré qu'une heure et la seconde deux heures à peine. Je ne sais pas trop à quoi m'attendre.

Dès que je suis prêt, quelques badauds lisent ma pancarte sans m'adresser la parole. Puis Maître Justin apparaît. Il me fait immédiatement lui baiser les pieds devant les curieux puis me dit de monter dans la cabine habituelle. Là, il entreprend de m'attacher les mains à un collier, me faisant conserver ma pancarte. Puis il me fait part de sa déception quand j'étais parti et me rappelle, si besoin est, qu'il a décidé de se venger. Il me fait promettre de ne plus recommencer. Je promets. Je reçois quelques tapes sur les fesses, mes tétons sont un peu pincés à la main et Maître Justin me maquille finalement, rouge à lèvres pour avoir " une bonne bouche de suceuse", puis les yeux. Et le front où il est écrit mon état au crayon gras : " JEROME SUCEUSE".

Alors mes tétons, trop petits pour mon Maître, sont développés a l'aide de seringues pendant quelques instants. Mes parties sont bondées et lestées de poids.

Satisfait du résultat, Maitre Justin commence la punition, à coups de dos de brosse à cheveux sur mes fesses. Il s'arrête par moments, me masturbe et me suce même. Puis la correction reprend. A un moment, il remplace la seringue qui gonfle mes tétons par des pinces chirurgicales. La douleur est supportable, encore une fois. Cela dure jusqu'à obtenir une couleur à son goût. Je supporte plutôt bien les coups également. Oh, j'ai mal, mais je tiens. Et la petite branlette n'était pas déplaisante du tout. Alors, Maître Justin me laisse penché en avant et il commence à me doigter. Un doigt, un second. Jusque là, je supporte tout très bien. "Je mets un troisième doigt". J'appréhende un peu mais ça semble passer. Au point que mon Maître décide de m'introduire autre chose. Je devine un plug mais je ne sais pas qu'il en a amené un nouveau. Je m'attends à celui que je connais. Mon Maître pousse. J'ai mal. Je sens que c'est différent, mais je ne sais pas pourquoi. Mon Maître insiste, mais ça n'entre pas. Il me laisse alors me redresser et me montre l'objet : un plug en silicone de sa fabrication. Il est énorme. Une barre en fer à sa base est destinée à recevoir un harnais pour maintenir la chose en place. Mon Maître doit terminer de le fabriquer. Je ne dis rien. Mais je ne suis vraiment pas impatient du tout de l'essayer. Mon Maître m'insère alors le plug habituel que je reçois bien et qui va rester longtemps en place ... Jusqu'à la fin. On oubliera même presque de le retirer tellement il sera bien là ...

Puis Maître Justin s'allonge sur la sorte de couche présente dans la cabine et je dois lui sucer les tétons et les couilles puis lui lécher l'anus. Ce sont toutes des premières fois pour moi, avec un homme. J'aime plutôt bien donner du plaisir et je n'ai pas le choix de toute façon. Alors je m'applique.

Mon Maître décide alors qu'il était temps de m'exhiber pour voir si d'autres clients du club peuvent avoir envie de moi. Il me fait donc sortir ainsi féminisé, la pancarte au cou, les mains dans les bracelets du collier, le maquillage sur la figure, les pinces aux tétons et les poids qui pendent entre mes jambes. Ces derniers tombent. Mon Maître ne me les remet pas. J'en suis presque déçu. Ils étaient agréables. Nous descendons au fumoir. Il se sert de ma bouche comme cendrier. Il ne l'avait jamais fait. Ca me dégoûte, je dois le dire. Mais j'avale puisque je sers à ça. Un homme paraît intéressé mais, finalement, Maître Justin et lui ne s'entendent pas et la mise à disposition de mon cul et de ma bouche tombe à l'eau. Mon Maître nous fait donc remonter et là va commencer vraiment la partie la plus difficile pour moi. Mais je ne le sais pas encore.

Nous allons dans une autre cabine. Ca semble devoir continuer pourtant sympathiquement. Les pinces aux tétons commencent à être vraiment douloureuses. Je demande à mon Maître s'il veut bien les retirer. Il accepte. Puis, c'est moi, cette fois, qui dois m'allonger. Sur le dos. Et je vois Maître Justin sortir une bougie. Il m'y a déjà fait goûter lors de nos rencontres précédentes, mais juste un peu et je sais que cela me fait très mal. J'appréhende. Et j'ai raison. Ça y est. La cire coule. C'est atroce. Je dois rester couché, plier les jambes et les écarter. Mais je ne peux pas. C'est atroce. Je remue dans tous les sens, me tourne et me retourne. J'aimerais rester stoïque mais c'est impossible. Et, comme je bouge, au lieu d'être brûlé toujours au même endroit, je suis brûlé un peu partout. Je sens que je vais craquer. Le safeword. "Rose". Non, je dois tenir. Mais je ne peux pas. Je gémis, je supplie et je crie même. Des badauds, attirés par ma voix viennent voir et disent, surpris et amusés, qu'ils me plaignent. Parfois, Maître Justin fait une pause. Au début, j'espère qu'il va arrêter. Mais après 4 ou 5 fois, je comprends qu'il ne veut pas en rester là, ce ne sont que de courtes pauses. Il me dit qu'il faut terminer la bougie qui est entamée. Je regarde la cire. Il en reste plus de la moitié. Je désespère. Je supplie. Il ne cède pas et recommence. Et je me tortille encore sous les brûlures. Il teste différentes cibles. Le sexe et les parties, bien sûr. Mais aussi les tétons. Ils sont encore très sensibles à cause des pinces. Je ne supporte pas. Je dis que c'est plus douloureux. Mon Maître me dit alors qu'il y a des parties du corps encore plus douloureuses sous la cire. Et il entreprend de me le démontrer. Je dois me mettre sur le ventre et écarter mes fesses. Puis ma rondelle me lance alors terriblement. En effet, il y a pire que les tétons endoloris. Je ne tiens pas et me retourne sur le dos. Mon Maître me dit qu'on met encore 10 gouttes sur l'anus. Je dois les compter. Je pense voir la fin du tunnel. Je prends mon courage à deux mains et reprends la position. Mais, dès la seconde goutte, la douleur reste et je ne parviens même plus à les distinguer les unes des autres. Je craque et me retourne encore. Mes bras, attachés au cou depuis le début, sont engourdis, en plus. Je ne tiens plus. J'arrive à mes limites. Mais je ne veux pas dire le safeword. Je veux le réserver pour du plus sérieux encore, une urgence. Alors je subis, difficilement. Mais je subis. Je me sens tout fragile, vulnérable. Cela n'est pas non plus désagréable mais c'est noyé dans la douleur que je ressens. Vient alors le moment où je suis épuisé, vaincu par la cire et les menottes de cou. Je le dis à mon Maître qui accepte de libérer mes bras. Ca fait du bien, mais ce n'est pas encore ça. Surtout que Maître Justin profite de ma liberté pour m'ordonner de me brûler moi-même le sexe. Il reprend ensuite la bougie et les gouttes tombent à nouveau. Mon Maître, comme il l'a dit, fait couler toute la bougie ou presque. Il s'arrête juste deux ou trois centimètres avant de ne plus pouvoir la tenir. J'apprécie. Je suis fini, cuit, si l'on peut dire ...

Nous convenons de mettre ici un terme à la séance. Nous discutons un peu avec un curieux. Il semble surpris et presque admiratif de ce que je viens de vivre. Mon Maître lui propose mes services sexuels. Il refuse à contre-coeur pour une histoire de préservatifs. Il touche quand même la marchandise. Je me laisse faire, bien sûr. Il me dit que je suis mignon. J'ai beau ne pas être homosexuel, ça me touche quand même. Un peu de réconfort me fait du bien à ce moment-là.

Alors, mon Maître me peigne le dos pour en retirer la cire puis il s'en va en me disant de terminer de me gratter et de nettoyer la cabine avant de quitter. Juste avant qu'il ne soit trop tard, il m'envoie retirer le plug que je ne sentais plus avec tout ça. Je dois le faire dans les toilettes en laissant la porte ouverte. Je le lui rends puis il s'en va.

Je vais nettoyer la cabine, la couche et le sol, après m'être moi-même peigné. Puis, je prends une rapide douche avant de quitter les lieux. Environ une heure plus tard, dans la rue, je vois encore des morceaux de cire sur mon bras. Plusieurs et assez gros. Je sors de la boulangerie et je suis en T-shirt. La boulangère a dû penser que c'était de la peinture, comme tous les gens que j'ai croisés au centre ville de Nancy. Surement. J'espère en tout cas ...

Merci Maître pour ce moment difficile mais très agréable quand même. C'était avant-hier et j'ai déjà hâte de vous revoir.

songeur

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